En cas de majorité d’une force d’opposition à l’issue des élections législatives des 30 juin et 7 juillet prochains, que cela soit le Rassemblement national (RN) ou le Front populaire, le pouvoir politique d’Emmanuel Macron serait considérablement amoindri, à trois ans de la fin de son mandat. Certes, mais pour le pays, le risque est sans doute ailleurs : celui d'une assemblée sans majorité, bloquée.