A 57 ans, la comédienne oscarisée pour «Erin Brockovich» s’apprête à recevoir un César d’honneur. Nous en avons profité pour demander à un de ses proches, le caméraman bernois Martin Schaer, de nous dresser son portrait
De la 50e cérémonie des Césars du cinéma français, qui se tiendra le 28 février sous la présidence de Catherine Deneuve, il n’y a pour l’heure qu’une personne assurée de repartir avec sa statuette: Julia Roberts. A 57 ans, la star américaine recevra en effet un César d’honneur pour l’ensemble de sa riche carrière, de Mystic Pizza (1988) au Monde après nous (2023), en passant par Pretty Woman (1990) ou Coup de foudre à Notting Hill (1999).
Celle qui fut un temps la plus grande star mondiale de cinéma, le caméraman bernois Martin Schaer la connaît bien. Installé à Hollywood depuis les années 1980, il a travaillé avec les plus grandes célébrités et côtoie l’héroïne d’Erin Brockovich (2000) depuis près de trente-cinq ans. Il l’a filmée à quatre reprises, mais tous deux sont surtout restés amis en dehors des plateaux. Il a accepté de nous raconter l’actrice en quelques moments clés.
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