Si les beaux-parents sont coopératifs et confiants, le nouveau foyer présente de vraies ressources pour les (beaux)-enfants, démontre un essai rafraîchissant qui vient de sortir

Les familles recomposées. Le sujet, un marronnier des années 1990, ne passionne plus les manuels de psychologie. Pourtant, avec un taux de 40% de divorces, la Suisse est toujours très concernée par cette redistribution familiale. Bonne nouvelle! Bien négocié, ce rebond peut dégager des trésors d’attention et de solidarité, assure la psychologue romande Gloria Repond Azinhaga, dans Familles recomposées, du conte de fées à la réalité.

Rédigé sur la base d’une soixantaine de situations et publié ces jours aux Editions Favre, cet ouvrage donne des clés pour réussir au mieux cette transition. Deux consignes essentielles? «Communiquer beaucoup et ne pas trop en demander aux belles-mères dont on attend un peu vite qu’elles remplacent les mères», prévient la spécialiste.

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