En situation de déficit, les municipalités britanniques coupent dans les services essentiels, comme la voirie, l’éclairage public ou les bibliothèques. Une sur deux craint de faire faillite d’ici cinq ans

La ville de Bristol ne veut plus ramasser les déchets de ses résidents. Ou du moins plus aussi souvent. Elle a mis en consultation fin janvier une proposition visant à réduire la fréquence des ramassages à une fois par mois. Cela permettra à la municipalité, qui abrite 483 000 habitants, d’économiser 2 millions de livres par an, alors qu’elle affronte un déficit budgétaire de 51,6 millions de livres pour l’exercice 2025-2026.

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