Honnie par Donald Trump, qui a décidé de la quitter dès son entrée en fonction, l’Organisation mondiale de la santé est toujours plus remise en question. La Suisse n’échappe pas au phénomène

Le 20 janvier 2025, premier jour du retour de Donald Trump à la tête des Etats-Unis, le président annonçait le retrait de son pays de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Raison invoquée: «La mauvaise gestion par l’OMS de la pandémie de Covid-19, l’incapacité de l’organisation à faire preuve d’indépendance vis-à-vis de l’influence politique inappropriée des Etats membres, les paiements injustement onéreux des Etats-Unis», entre autres griefs.

Depuis cette annonce, une bonne partie des admirateurs du républicain résonnent des mêmes aspirations. Notamment en Italie, où l’ancien ministre de l’Intérieur et actuel sénateur Matteo Salvini a récemment appelé Rome à faire de même. Et en Suisse, où l’Union démocratique fédérale (UDF) annonçait ce jeudi avoir récolté plus de 20 000 signatures en ce sens.

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