CHARIVARI. D’un côté, Monica Bellucci reste elle-même en assumant ses rides avec joie. De l’autre, la reine de la pop disparaît derrière son visage lissé-gonflé. Notre chroniqueuse, qui a aimé la radicalité féministe de «The Substance», a fait son choix
Il n’y a et il n’y aura jamais qu’une Madonna. La reine de la pop, qui a osé tous les styles et explosé tous les records, n’a de leçons à recevoir de personne. On l’aime, beaucoup la vénèrent, elle met tout le monde d’accord. Pourtant, il y a un domaine où la star semble avoir perdu pied. Celui de son visage, qui, retouché depuis plus d’un an façon pastèque sous amphète, finit par la trahir.
Certes, tout va à la diva, virtuose des looks extrêmes et des coups de sac esthétiques. Mais là, même ses fans les plus fervents sont mal à l’aise devant sa face ballon. Que lui est-il arrivé? se questionnent les aficionados, qui préfèrent loucher sur les clichés plutôt qu’affronter la réalité.
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