Mi-novembre, la madone du couvent schwytzois a été endommagée en pleine messe par un requérant d’asile mineur. L’institution ne s’en est pas formalisée, au contraire de l’UDC Suisse. Qui n’est pas parvenue à transformer l’essai dans les urnes locales dimanche dernier
C’était le 16 novembre. Un samedi après-midi. Sous les ors du prieuré fondé en 835 à Einsiedeln, une petite foule de pèlerins se recueille en silence face à la Vierge noire, statuette sacrée de 1,20 m datée du XVe siècle installée dans la chapelle des Grâces. Quand un jeune homme fait irruption vers l’autel. Chaise en main, il monte dessus, arrache les vêtements de l’icône (régulièrement changés par les moines au gré des fêtes religieuses), s’empare de son sceptre et coiffe sa couronne.
⁉️ Migranten ausser Rand und Band
— Junge Tat (@Junge_Tat) November 25, 2024
⛪ Nachdem auch wir von den verheerenden Vorfällen im Kloster Einsiedeln erfahren haben, in welchen ein Migrant die Krone der Schwarzen Madonna auf übelste Weise vom Kopf gerissen und diese heilige Stätte entehrt hat, war klar: Es reicht! Mit… pic.twitter.com/sONAWOOiTB