A la suite d’un accord, la rémunération de Marie Da Roxa augmente de 20 000 francs par année, mais l’institution devra compenser les indemnités excédentaires versées par l’ancien conseil d’administration
Le communiqué de presse diffusé ce mercredi par le Conseil d’Etat tient en cinq lignes, dont la dernière dit ceci: «Il ne sera fait aucun autre commentaire.» Cet épilogue se révèle fort succinct compte tenu des passes d’armes politiques et juridiques survenues, sur plusieurs années, autour de la rémunération de Marie Da Roxa, directrice de l’Institution genevoise de maintien à domicile (Imad). Cette pudeur s’explique par un accord trouvé, et entré en force suite aux retraits de recours.