Michel Hazanavicius évoque la fabrication de «La plus précieuse des marchandises», un conte qui jouxte le plus noir du réel, évoquant la Shoah par le biais du dessin animé

Il a réalisé deux épisodes des aventures de l’agent 0SS 117 (Le Caire, nid d’espions, 2006; Rio ne répond plus, 2009), signé un film muet couvert de récompenses (The Artist, 2011) ou encore tourné un audacieux biopic consacré à Jean-Luc Godard (Le Redoutable, 2017). Toujours prompt à se réinventer, Michel Hazanavicius nous revient avec La plus précieuse des marchandises, un 9e long métrage en forme de conte animé. Rencontre.

Le Temps: L’idée du dessin animé s’est-elle imposée tout de suite ou avez-vous pensé à faire incarner les personnages de «La plus précieuse des marchandises» par des comédiens de chair?

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