Les coûts et l’impact de ce projet devant être réalisé entre 2027 et 2042 sont d’une tout autre ampleur que celui sur lequel se prononce la population le 24 novembre. Il en est pourtant la suite logique, si l’on peut dire
Le vote du 24 novembre sur l’extension du réseau de routes nationales n’a pas encore eu lieu que la prochaine étape, la suite «logique» si l’on ose dire, est déjà évoquée. A Genève, c’est le projet d’élargissement de l’autoroute de contournement, dans le prolongement de l’A1 entre Genève et Lausanne, qui suscite de vives inquiétudes. Car dans leur emprise, leur coût et leurs nuisances, les travaux seront d’une tout autre dimension que celles induites par les 19 kilomètres du tronçon entre Nyon et le Vengeron.
C’est d’ailleurs ce que redoutent la plupart des communes concernées, ainsi que diverses associations, dont Sauvegarde Genève, qui ont réuni la presse mardi pour évoquer les «impacts négatifs» de cet élargissement et proposer leur vision d’une «mobilité durable» à Genève.
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