Que faire devant une crise de l’itinérance qui s’aggrave à un point tel qu’on laisse des personnes vivant avec une déficience intellectuelle dans la rue1 ? Devant une bureaucratie si lourde que des gens ont le temps de mourir mille fois avant de recevoir l’aide dont ils ont besoin ? Devant des idéaux de la Révolution tranquille qui s’estompent pour faire place à des logiques administratives inhumaines ?