Pour la deuxième fois en deux ans, Jean-Pierre Bellemare a hérité d’une étiquette réservée aux pires criminels, celle de « délinquant dangereux ». Mais cette fois, il évite une peine à « durée indéterminée ». Le juge l’a plutôt condamné vendredi à 12 ans de pénitencier pour deux agressions sexuelles extrêmement brutales.