Des pulsations puissantes, des mélodies minimales, une esthétique visuelle rétro et un flegme de robot, Kraftwerk a offert une prestation technique et pourtant hypnotique lundi à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts. En puisant dans leurs albums emblématiques vieux de plusieurs décennies, les vénérables « automatons » allemands ont rappelé tout ce que la musique pop leur doit depuis 50 ans.