« Le pire qui peut arriver, c’est qu’une guerre tombe dans l’oubli », pense Martin Tremblay. Convaincu de l’importance de documenter les conflits armés qui déchirent le monde, le photojournaliste de La Presse multiplie les reportages à l’étranger depuis plus de 20 ans. Lancé en novembre, son premier roman jeunesse est pour lui une façon différente de braquer l’objectif sur les réalités de la guerre.