Ces pages ont malheureusement un léger goût de déception, du même acabit que celles du Nothomb nouveau. Un goût de citron pressé à outrance. Dans le cas de Pennac, on ne peut lui en vouloir totalement. Mon assassin (titre intrigant suscitant l’espoir d’un récit captivant) entremêle l’histoire fictive du truand nommé Pépère, apparu dans les derniers volumes de la série Malaussène, et les explications de l’auteur sur la toile de fond réelle derrière certains personnages de celle-ci (la reine Zabo, C’est Un Ange, etc.).