En se mettant à l’abri de ses créanciers, Northvolt AB met près d’un demi-milliard de fonds publics québécois à risque. La multinationale envisage toujours son mégaprojet au Québec même s’il revoit son échéancier, d’après des documents judiciaires. Mais une question demeure : comment pourra-t-elle le financer avec des coffres presque à sec ?