Il y a de la vie dans les mines abandonnées du Québec et elle pourrait être bénéfique à l’environnement. C’est ce qu’observent deux chercheuses de l’UQAM, qui étudient des communautés microbiennes se nourrissant de substances toxiques dans les aquifères, formations géologiques contenant des nappes d’eau douce souterraines.