Elle était au « centre » d’un « système organisé » visant à faire du Parlement européen une « vache à lait » : l’accusation a requis mercredi à Paris cinq ans de prison, dont deux ans de prison ferme aménageables et cinq ans d’inéligibilité contre Marine Le Pen, la cheffe de l’extrême droite française, menaçant ses ambitions présidentielles pour 2027.