Le fait d’avoir été condamné par la justice n’interdit pas à un candidat de se présenter aux élections, ni à un élu de siéger. Aux dernières élections communales et provinciales, certains noms sur les listes étaient liés à des condamnations pour des faits plus ou moins graves. Ce passé ne les a pas empêchés d’obtenir un siège pour les six prochaines années. ...