Mercredi 16 octobre, douze premiers migrants étaient transférés dans les centres flambant neuf construits par Rome en Albanie. Trois jours plus tard, la justice italienne a ordonné leur retour en Italie. Un coup dur pour la Première ministre d’extrême-droite dont la méthode d'externalisation de gestion des migrants séduit autant qu'elle inquiète.

En Italie, le climat politico-judiciaire s’annonce plus tendu que jamais ces prochains jours. En cause: le faux départ du grand projet d’externalisation de gestion des migrants de la Première ministre Giorgia Meloni.

Vendredi 18 octobre, un tribunal de Rome a exigé le retour en Italie de tous les migrants placés, deux jours plus tôt, dans les centres flambant neuf construits par Rome en Albanie. Samedi, les gardes côtes italiens ont finalement ramené les douze Egyptiens et Bangladais à Bari, dans les Pouilles.

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