C’est au festin d’un millionnaire trumpiste, dans un lounge bar new-yorkais, que Kornél Mundruczó situe sa mise en scène de Salomé, opéra de Richard Strauss à voir au Grand Théâtre de Genève. Le canevas du mythe est simple: un papy (Hérode) ­désire sa belle-fille (Salomé). Que veut-elle en échange d’un strip-tease? La tête du prophète […]

The post Salomé, entre surréalisme et malaise appeared first on Le Courrier.