L’année qui se termine ne nous a guère épargné·es. Les péripéties de notre petite planète nous ont tiré davantage de larmes que de cris d’allégresse et les lueurs rouge sang des roquettes incendiaires ont remplacé les étoiles filantes des beaux ciels d’été. Il faudrait donc s’accorder un temps de latence, au moins pour passer le cap de 2025. Tourner par exemple son regard vers ce qui passe inaperçu, en dépitLire la suite Se tenir debout sur une Terre qui vacille
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