Effectuer un séjour à l’étranger pendant ses études ou son apprentissage est une expérience enrichissante de l’avis (presque) général. Mais elle n’est pas toujours accessible

Partir étudier la géographie à Salamanque, l’économie à Londres, la philosophie à Paris: le rêve de beaucoup d’étudiantes et étudiants? Oui, mais l’organisation d’un tel séjour peut aussi se révéler compliquée ou inaccessible.

«Certains étudiants nous contactent parce qu’ils ne trouvent pas d’informations sur les équivalences de cours, les demandes de bourses, les délais à respecter, observe Myriam Schneider, secrétaire générale de la Fédération des associations d’étudiant·e·x·s (FAE) de l’Université de Lausanne (Unil). C’est vrai que les cours choisis à l’étranger peuvent ne pas être reconnus ici, les crédits universitaires être calculés différemment, les dates de début de semestre ne pas être synchronisées… Il faut très bien faire son planning pour s’assurer que tout fonctionne.» Elle rappelle donc l’existence de services de l’Unil dédiés à toutes ces questions.

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