Des rapports fédéraux, dont l’un est lié au contre-projet sur l’initiative «Stop au blackout», suscitent la colère de Greenpeace. L’ONG estime que le potentiel de l’atome est «enjolivé», une critique que Berne rejette

Coûts et rentabilité du nucléaire, qualité de l’approvisionnement d’une telle énergie, durée de construction d’un réacteur, pertinence d’avoir une électricité en ruban, promesses de l’énergie atomique de demain. Sur tous ces points, la Confédération et Greenpeace sont en désaccord. L’Etat et l’ONG ne s’entendent pas non plus sur des éléments de contexte essentiels: le degré de risque de pénurie électrique l’hiver, l’apport du photovoltaïque, l’impact de la guerre en Ukraine.

Cette liste d’exemples émane d’un communiqué de Greenpeace à paraître le 11 mars et qui a été transmis en avance au Temps. L’ONG réagit à la publication l’an dernier de deux rapports fédéraux sur l’atome.

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