Galvanisé par la nouvelle loi sur la promotion de la culture, le Conseiller d’Etat socialiste a rappelé ce jeudi ses ambitions qui englobent aussi bien le futur Concorde Espace-Culture de Vernier que le Grand Théâtre
La barbe est digne du peintre Ferdinand Hodler. Et le regard bleu est celui du marin d’eau douce cher à l’écrivain Guy de Pourtalès. A l’heure du petit pain au sucre, Thierry Apothéloz exposait jeudi ses ambitions pour la culture en territoire genevois. Et tentait de faire oublier l’étrange malédiction de l’Office cantonal de la culture et du sport qui a vu se succéder les directeurs et directrices à un rythme soutenu ces cinq dernières années. Mais foin de mauvais esprit.
A une époque, on aurait souri devant cette entreprise, tant le canton faisait figure de parent pauvre dans le domaine, en regard de la Ville toute puissante. Mais depuis le 1er janvier 2024, depuis qu’il s’est doté, après mille coups de théâtre, d’une loi pour la promotion de la culture et de la création artistique, le Conseiller d’État responsable de la cohésion sociale et de la culture a des arguments de poids.
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