Une récente tentative de féminicide survenue le 21 janvier 2025 à Lausanne illustre la nécessité d’interventions policières armées. C’est la conviction de Nicolas Hurni, conseiller communal libéral-radical (PLR) à Lausanne. Il critique le postulat récemment renvoyé à l’exécutif de la ville par la majorité de gauche du législatif

La tentative de féminicide survenue le 21 janvier 2025 à Lausanne aurait pu virer au drame sans une intervention policière armée. Ce fait divers, qui s’est soldé par trois blessés et l’interpellation rapide du suspect, rappelle une réalité brutale: la violence peut surgir n’importe où, n’importe quand, sans préavis. Face à cette réalité du terrain, nos forces de l’ordre doivent pouvoir intervenir immédiatement avec les moyens adéquats.

Le postulat, récemment renvoyé à la municipalité de Lausanne par la majorité de gauche, visant à désarmer certains agents de police lors de missions dites «de proximité», illustre parfaitement le danger des initiatives idéologiques déconnectées des réalités du terrain. Cette proposition, bien qu’elle se présente sous les atours séduisants d’une police plus accessible, constitue en réalité une menace sérieuse pour la sécurité publique.

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