Les leaders ou figures phares de plusieurs formations de droites dures européennes ont répondu présent. Giorgia Meloni soigne ses relations transatlantiques et pourrait chercher à faire le «pont» entre la Maison-Blanche et l’UE

Un problème d’agenda? Le leader souverainiste hongrois Viktor Orbán ne figure pas parmi les personnalités de droite dure présentes à l’Inauguration Day pour l’intronisation officielle de Donald Trump. Sa proximité avec le président américain n’est pourtant plus à démontrer. Il s’est rendu trois fois dans sa résidence de Floride à Mar-a-Lago en 2024, s’est pris pour le messager de son «plan de paix secret» pour l’Ukraine, et ne cesse de vanter les mérites du républicain, tout en s’en méfiant un peu. Il aurait bien reçu une invitation «personnelle». Mais a une bonne excuse: lundi est aussi le jour où il prononce, à Budapest, un discours pour faire le bilan de la présidence hongroise de l’UE qui vient de s’achever.

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