Le conseiller fédéral a échangé vendredi soir à Lausanne avec une centaine d’abonnés du «Temps». Sans langue de bois, avec un recours abondant aux expressions populaires qu’il affectionne, Guy Parmelin a joué le jeu avec humour et décontraction

Malgré le stress, les préoccupations et la charge de travail, Guy Parmelin ne dort pas forcément mal. Car le Vaudois ne manque pas d’oreillers. Il s’agit de l’une des premières confidences que le conseiller fédéral en charge de l’économie, de la formation et de la recherche a faite au parterre de lecteurs du Temps avec qui il a échangé vendredi soir, au cinéma Le Capitole à Lausanne.

Durant la pandémie, le natif de Bursins a avoué à un public hilare avoir reçu «deux ou trois» coussins pendant la pandémie, qu’il utilise toujours. Ces présents visaient à sanctionner l’expression «oreiller de paresse», utilisée il y a quatre ans pour justifier une certaine prudence dans l’octroi d’aides aux entreprises. Une traduction inappropriée, assure aujourd’hui le politicien.

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