Depuis une quarantaine d’années déjà, il s’agissait d’une convention non écrite, mais quasi immuable. La propulsion était le mode d’entraînement réservé à de rares modèles sportifs, voire à d’opulentes berlines de grand luxe. Le reste de la production automobile s’en tenait à la traction ou, mieux encore, au rouage intégral. Cette classification connaît aujourd’hui un certain nombre d’exceptions. En effet, en entrée de gamme, plusieurs véhicules électriques n’entraînent que leurs roues arrière. C’est le cas par exemple de Tesla, mais aussi de Volkswagen (ID.4) ou encore de Kia (EV6), pour ne nommer que ces trois marques.