Sandra Bolduc est sûre d’une chose : le Québec dépenserait beaucoup moins en services sociaux ou de santé si on encadrait mieux les jeunes qui quittent la direction de la protection de la jeunesse. Laissés à eux-mêmes lorsqu’ils atteignent la majorité, ils se retrouvent parfois dans l’itinérance, l’isolement social et la criminalité. La solution de son organisme ? Des résidences hors du commun, où on accueille des garçons – et bientôt des filles – issus de la DPJ.