D’ici 2050, le nombre de Québécois vivant avec un trouble neurocognitif comme l’alzheimer pourrait dépasser 360 000, plus du double qu’actuellement. Compte tenu de la fragilité du système de santé, il s’agit d’un constat « un peu épeurant », selon Sylvie Grenier, directrice générale de la Fédération québécoise des Sociétés Alzheimer.