Droits collectifs Québec (DCQ) n’a pas l’intention d’abandonner sa lutte contre la Cour suprême, qui a cherché à se soustraire à la Loi sur les langues officielles en annonçant, vendredi dernier, qu’elle retirait de son site web les quelque 6000 jugements unilingues rendus avant 1969 plutôt que de les traduire.