Amie du Québec, Angélique Kidjo partage sa vie entre la France et les États-Unis, mais refuse de prononcer le nom de Donald Trump. De passage à Montréal pour interpréter à la Maison symphonique une œuvre composée pour elle par Philip Glass, la célèbre voix du Bénin réfléchit à voix haute sur ce monde où « la haine est malheureusement plus facile que l’amour », mais où la musique demeure la source de tous les espoirs.