Il était parfait, à 9 ans, dans le rôle de Kaspar Weiss, ce petit orphelin de la fin du XVIIIe siècle, violoniste prodige au cœur malade, qui chérissait son violon rouge au point de dormir avec lui. Pas difficile pour le jeune Christoph d’y croire, lui qui prenait son violon comme doudou vers l’âge de 3 ans.