Il y a quelques très beaux tableaux dans cette autofiction de Krystel Descary, qui explore à la fois les thèmes de la mort et de l’abandon. Mais l’auteure de cette pièce-ovni, qui incarne sur scène une thanadoula, sorte de sage-femme de la mort, prend l’énorme risque – pas très heureux – de mélanger les genres.