Nombreux sont les consommateurs qui inspectent désormais les brocolis ou les oranges à la recherche de l’autocollant indiquant leur pays d’origine, pour finalement les remettre à leur place s’ils viennent des États-Unis. Face à ce boycottage, les détaillants demandent à leurs fournisseurs de trouver de nouvelles sources d’approvisionnement. Habitués à devoir trouver des solutions en raison des désastres climatiques, les importateurs doivent désormais affronter une tempête… douanière.