Construire un câble électrique sous l’Atlantique pour vendre l’électricité du Québec en Europe, et en acheter de nos alliés européens en cas de besoin… Voilà le projet un peu fou du Franco-Britannique Laurent Segalen, banquier et investisseur spécialiste des énergies propres. Hydro-Québec admet n’avoir jamais étudié cette idée. Malgré cela, le projet baptisé NATO-L doit-il être pris au sérieux ? Voici cinq points pour y voir plus clair.