« On a peine à le croire, pourtant ce ne sont pas les images d’une maison abandonnées mais bien celles d’un foyer où vivait une personne… », soupire Franck Lorigiola. Le président d’Au Bonheur de Vica à Morlanwelz le reconnaît avec gravité : depuis qu’il gère son association, il a rarement vu une situation aussi catastrophique que celle de ce lundi à Aubange.