Pour les jeunes et les moins jeunes, la question du consentement n’a de sens que si la sexualité est appréhendée comme une relation réciproque entre égaux. À côté de l’apprentissage à la reconnaissance et à l’expression de ses propres désirs, la capacité d’identification des relations dissymétriques et des contextes contraignants susceptibles de réduire son libre-arbitre devrait être développée. ...