D’abord lundi, puis mardi, le noyau dur de l’ASBL Ramur, qui s’oppose à l’abattage des arbres, a tenté d’arrêter la mise à blanc, "et le carnage", de quelques parcelles bordant le RAVeL, entre Saint-Marc et Saint-Servais. Une action de désobéissance civile pour faire pression et amener à changer une loi forestière trop permissive. Mais celle-ci se révéla davantage un baroud d’honneur. A l’exception d’un ouvrier s’en allant débarder du bois, Ramur n’est tombé sur aucun bûcheron. ...